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un regard, un sourire 
21/05/2005 16:18
  
 
  
Un regard, un sourire
  Qui es-tu ?
  Que fais-tu ?
  Tu me plais et j'aimerais te connaître
  te parler, entendre le son de ta voix
  mais tu ne fais pas attention
  à moi, tu ne me vois pas
  tu as l'air indifférente
  peut-être timide
  Je t'adresse un regard
  qui te dis que tu me plais
  j'aimerais connaître ta pensée
  deviner ce qu'il y a derrière
  ses yeux magnifiques
  la vie est bizarre
  peur de s'engager
  d'aller plus loin
  envie mais cette angoisse
  qui surgit.
  Alors pourquoi s'arrêter
  quelquefois la personne regardée
  n'attend qu'un regard ou une parole
  car elle aussi
  espère silencieusement
  l'amour, l'attirance
  c'est magnifique
  des regards qui se cherchent
  des sourires furtifs et innocents
  c'est beau
  Il faut avancer, se lancer
  et aimer. 
 
 
 
 
 
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21/05/2005 16:23
  
 
  
Vole vole petite aile Ma douce, mon hirondelle Va t'en loin, va t'en sereine Qu'ici rien ne te retienne Rejoins le ciel et l'éther Laisse-nous laisse la terre Quitte manteau de misère Change d'univers
  Vole vole petite s½ur Vole mon ange, ma douleur Quitte ton corps et nous laisse Qu'enfin ta souffrance cesse Va rejoindre l'autre rive Celle des fleurs et des rires Celle que tu voulais tant Ta vie d'enfant
  Vole vole mon amour Puisque le nôtre est trop lourd Puisque rien ne te soulage Vole à ton dernier voyage Lâche tes heures épuisées Vole, tu l'as pas volé Deviens souffle, sois colombe Pour t'envoler
  Vole, vole petite flamme Vole mon ange, mon âme Quitte ta peau de misère Va retrouver la lumière 
 
 
 
 
 
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Et toi, dit moi, que fait tu sans moi? 
21/05/2005 16:30
  
 
  
     
 
 
 
 
 
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Elle l'aurait du l'apeller.... 
21/05/2005 16:46
  
  
Elle aurait du l'appeler... Il le savait. Elle lui avait dit qu'elle l'appelerai, et il était là, allonger, son téléphone sur le ventre, à attendre. Il le savait très bien, attendre de cette façon ralongeait l'attente, mais peu importe. Il attendait, pensant à leur relation, si spéciale, tirée tout droit de la science-fiction. Depuis qu'il était jeune, on lui parlait de la beauté de l'amour, de sa puissance. On avait oublié de lui dire que l'amour se fout de la distance. Ou plutot qu'il ne s'en fout pas, mais que l'amour peut être assez fort pour vaincre la distance. Et lui, il espérait, comme le marin espère revoir la terre un jour. Et il était là, allongé, son portable sur l'épaule. Puis d'un coup, il senti un sentiments étrange, quelque chsoe au fond de lui, moitié douleur, moitié tiraillement. Surement l'attente se dit-il. Il s'était déjà fait mal au ventre en pensant à elle, en pensant qu'elle était peut-être en train de l'oublier. il regarda l'heure. 22h03. Elle aurait du appeler. Il voulait l'appeler. Mais il l'appelait déjà si souvent, il ne voulait pas l'étouffer. Alors il resta tard, très tard, à attendre le coup de fil. Puis à l'aube, il s'endormit. Quand il se réveilla, sa mère était dans sa chambre debout, les larmes aux yeux. La suite? Il apprit que sa copine avait eu un accident de voiture la veille. Une voiture venant en sens inverse, conduite par un homme ivre, l'avait percuté. A l'arrivée du SAMU, elle était dans un état critique. Malgré tous les efforts déployé, elle était morte à l'hopital. Lui, regarda sa mère, l'air hagard. Il voualit pleurer, mais n'y arrivait pas. "A quelle heure est-elle morte" demanda-t-il comme si s'était la seule chsoe qui avait de l'importance. "D'après l'équipe médicale, à 22h03". Alors il s'effondra en larme. Cela faisait au moins 2 ans qu'il n'avait pas pleuré. Deux ans de malheurs, deux ans de tristesse, qui n'était rien comparé à ce qu'il endurait. Elle aurait du appeler... mais elle ne pouvait pas, elle était morte.... Il comprit alors quelque chsoe qui le fit souffir encore plus. A 22h03, c'était lui qui mourait aussi.... il était une partie d'elle, elle était une partie d'elle. Pendant trois jours, il ne prononça pas un seul mot. Chaque seconde devenait des heures de tortures. Elle aurait du l'appeler. Et lui, comme un con, pendant qu'elle mourait, était allongé, en train de se demander pourquoi elle n'appelait pas. Sa souffrance venait également d'une évidence qui s'imposait à lui. Il s'avait désormais que l'amour fusionnel existait. Il avait mis trop de temps à s'en rendre compte. Elle aurait du l'appeler, mais il était trop tard. Le Paradis n'est pas relier à la Terre. Il savait désormais cette évidence qui aurait du le frapper avant, qu'il aurait du lui dire : c'est avec elle qu'il aurait voulu passer un bout de temps, un instant du chemin de sa vie.... et désormais, elle ne l'appelerait plus, il ne l'appelerait plus. Il ne pourrait jamais lui dire Une semaine après l'accident, c'était l'enterrement. Beaucoup de monde était présent. Beaucoup de monde l'aimait, elle était si formidable. Et elle, l'aimait, et lui, attendait son coup de fil. Quand ce fut son tour, il prit une rose blanche et la lanca sur le cercueil. Une rose blanche pour la pureté, pour la paix, pour l'amitié. Car elle n'était aps que l'amoureuse, elle était aussi l'amie, elle était tout pour lui. Elle aurait du l'appeler. Puis il lança une rose rouge, symbole du crime qui avait été commis, symbole de son amour. Elle aurait du l'appeler. Puis il sorti de sa poche une petite boite, une boite à bijoux. A l'intérieur, une bague de fiançaille... Il l'avait acheté un mois plus tôt, et devait lui offrir pour son anniversaire. Mais elle ne fêterai jamais son anniversaire, mais elle ne l'appelerai plus. La boîte atteri sur le cercueil. Elle aurait du l'appeler....................................................... 
 
 
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Commentaire de alize (06/06/2005 20:43) : 
 serieu sa fou les larme o yeu 
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attention les filles 
21/05/2005 16:53
  
  
Si j'avais su Ce que t'avais prévu Je ne serai pas venue Te rejoindre en pleine rue
  J'avais 12 ans et j'étais bête J'ai cru que tu étais différent des autres garçons Que tu m'aimais peut-être En fait, t'étais encore plus con
  Au début, c'était comme dans mes rêves les plus fous Tu m'as embrassée dans le cou Tu voulais qu'on marche un peu Tu m'as pris la main, tu semblais si heureux
  Tu m'as emmenée un peu à l'écart du monde, Dans une petite ruelle toute sombre Je m'en suis rendue compte trop tard Mon rêve allait devenir un cauchemar
  Tout à coup, tu n'étais plus le même Tu m'as plaquée contre le mur, fini les 'je t'aime' Tu m'as dit que t'avais envie de moi Que je ne pouvais rien contre toi
  Tu m'as tenue contre le mur et tu as serré, Une main sur ma bouche pour m'empêcher de crier Je sentais ton souffle rauque dans ma nuque Tandis que tu m'arrachais ma jupe
  Je ne savais pas quoi faire Ta main toujours sur ma bouche m'obligeait à me taire J'essayais de m'échapper Mais tu me tenais avec fermeté
  Je sentais mes jambes fléchir J'ai cru que j'allais mourir Je te suppliais du regard mais c'était sans espoir
  Ma jupe tombée par terre Ton jean déjà ouvert J'étais épouvantée Mais toi, tu riais
  Tu t'es collé contre moi Il n'y avait plus que ma culotte pour me séparer de toi A ce moment j'ai prié Dieu de m'évanouir Pour ne plus entendre tes soupirs
  J'ai ressenti une douleur atroce Tu m'avais pénétrée avec force Tes mains exploraient chaque parcelle de mon être Je ne pouvais plus crier, aucun son ne sortait Tu prenais ton pied, j'étais ton jouet
  Quand ça ne t'a plus amusé Tu m'as retournée Et t'as recommencé Par derrière, pour changer
  J'ai eu encore plus mal Je me sentais si sale Tu m'avais souillée,  Ruiné ma vie à jamais
  Quand t'as senti ton plaisir venir Tu m'as agenouillée devant toi T'as ouvert ma bouche, y enfonçant tes doigts Et tu m'y as enfoncé ton dard, sans prévenir
  J'avais envie de vomir J'avais envie de mourir T'as évacué ton sperme dans ma bouche Tu m'as forcé à avaler toute la louche
  Et puis t'es parti En me laissant là Seule, nue et meurtrie Au plus profond de moi
  Tu m'as juste fais jurer De ne jamais en parler Disant que t'étais sûr que j'avais aimé ça Même si je ne l'avouais pas
  Je t'aimais, tu sais Et ma virginité, Je te l'aurai donnée Si t'avais pensé à me le demander Avant de me violer 
 
 
 
 
 
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